Cancer, thérapies et alternatives…  

Temps de lecture estimé  : 10 à 15 mn

Aujourd’hui je vous parle de cancer et du livre d’un docteur, chercheur, qui a trouvé des pistes et des solutions sérieuses pour traiter le cancer et qu’il a lui même testé avec succès sur ses patients. Vous trouverez les principales documentions et sources de cet article dans les sources figurant en bas de page. Tous les mots et noms propres en rouge dans le texte sont des liens vers les notions et les docteurs cités. Je vous invite à faire preuve de curiosité et à cliquer sur ces liens car vous pourrez ainsi vous forger votre propre opinion ! 😉

Pour ceux qui n’ont pas lu ma bio…

Le cancer a emporté grand nombre de mes proches dont ma mère et 2 de mes grands parents. J’ai mis du temps à trier puis longuement hésité à écrire et vous rendre compte des nombreuses études que j’ai lues sur le cancer. Par égard et respect envers tous ceux qui en souffrent et luttent contre cette maladie et qui, démunis, se raccrochent à des espoirs qui vont parfois au-delà de la science, de la médecine et qui flirtent avec la croyance, les rendant vulnérables aux vendeurs de miracles et produits de tous poils !

Mais dans tout mal… il y a un bien pour qui sait l’observer…

Ces épreuves m’ont permis de ressentir les limites des protocoles de traitements anticancéreux officiels… les contradictions et les incertitudes, voire le désarroi, de ceux qui les appliquent… et qui doutent, sentant parfois eux-mêmes qu’ils tâtonnent impuissamment face à cette maladie souvent mortelle. Pourtant, depuis longtemps des docteurs et des chercheurs ont trouvé, testé et proposé des solutions tangibles et sérieuses.

La voie de l’éthique et de la vérité…

Les médecins qui ont choisi la voie de l’éthique et la voix de la vérité doivent toujours affronter les grands maîtres de la manipulation et de la désinformation, dont la préoccupation principale, est infiniment moins la santé de leurs contemporains que celle de leurs bénéfices et revenus…

Avez-vous déjà entendu parlé du Dr Joseph Levy ? Dans un de ses livres édité en 1998 et intitulé : « Voies alternatives dans le traitement du cancer », il disait d’un seul coup tout haut ce que des milliers de médecins et thérapeutes consciencieux et honnêtes murmuraient depuis 10 bonnes années en catimini dans les couloirs des congrès ou dans les « samizdats » des recherches médicales indépendantes.

Alors tout juste retraité, le docteur Lévy ne craint plus l’interdiction d’exercer, mais ceci n’enlève rien à son courage dont il fait preuve en affrontant les lobbies clinico-pharmaceutiques.

Peu de médecins ont étudié le cancer d’une manière aussi pluridisciplinaire…

Après son doctorat en médecine, plutôt que de considérer connaître tout ce qu’il y a à savoir, joseph Lévy se lance dans des études complémentaires. Elles vont durer toute sa carrière. Tour à tour, il obtient un doctorat de spécialité en sciences physiques puis écrit plusieurs ouvrages critiques sur la théorie de la Relativité. Il obtient un diplôme de médecine nucléaire et un diplôme de l’Institut international d’acupuncture et de médecine énergétique.

En quête de connaissances…

Sa longue et patiente quête de la connaissance médicale le conduit de médecins en chercheurs, de chercheurs en découvertes. A l’affût des publications scientifiques du monde entier, il constitue peu à peu une impressionnante documentation qui débouchera sur la publication de « La Révolution silencieuse de la Médecine » et sur des traitements anti-cancer qu’il expérimente avec succès dans son cabinet.

Pendant toutes ces années, il travaille et il se tait. Seuls ses patients connaissent avec bonheur la pertinence des traitements qu’il a rassemblés et qu’il applique en fonction des cas et de ses diagnostics.

Son heure venue, le docteur Joseph Lévy rompra le silence qu’il s’était imposé. Voici un aperçu de son témoignage…

35 ans de gaspillage et de désinformation…

Dans le New England journal of Medicine, 2 professeurs de la Harvard School of Public Health dressaient le bilan (en s’appuyant sur des données épidémiologiques officielles de 35 années de recherches sur le cancer, pour un budget équivalent à celui de la conquête spatiale) : «35 années d’efforts intenses, centrés essentiellement sur l’amélioration des traitements, doivent être considérées comme un échec patent. Les résultats n’ont pas été ceux qu’on espérait »

John C. Bailar et Elaine M. Smith.

« Mes conclusions sont tout autres : je suis convaincu que nous avons réalisé d’immenses progrès dans la compréhension et le traitement de cette maladie. Mais si l’on veut que ces progrès passent dans la pratique, il faudra bien que la science officielle fasse le saut qu’elle a refusé de faire jusqu’à présent, et qu’elle prenne en considération les travaux de tant de chercheurs, écartés des organismes subventionnés, pour avoir osé faire preuve d’originalité.»

Dr Joseph Lévy

Ces chercheurs, dont les plus connus ont été discrédités par les assauts médiatiques des chercheurs de la cancérologie officielle, le Dr. Joseph Lévy les connaît bien et s’inspire de leurs travaux pour mettre au point des synergies de traitements qui ont fait leurs preuves et dont il donne le détail dans son livre. Ce qui les caractérise, c’est qu’ils ont étudié les mécanismes déclencheurs du cancer au lieu de se contenter d’étudier les tumeurs.

Ils ont pour noms :

• Keith Brewer (mondialement connu pour ses recherches sur la s éparation des isotopes)
• René Jacquier (l’inventeur de l’oxygénation biocatalytique)
• Fritz-Albert Popp (le physicien allemand qui a découvert la respiration bio photonique des cellules)
• Geerd Hamer (médecin allemand qui a travaillé sur les origines psychosomatiques du cancer)
• Monique et Mirko Beljanski (auteurs de l’oncotest basé sur l’écartement des spires de l’ADN)
• Gaston Naessens (biologiste, inventeur du somatoscope et d’une thérapie anti-cancer)
• Hans Nieper (le premier à avoir fait une synthèse des travaux de chercheurs isolés).

Le cancer précède la tumeur…

« Confondre le cancer avec la tumeur, c’est confondre la cause avec l’effet. La destruction de l’effet n’a jamais été capable de supprimer la cause »

Dr. Lévy…

Confondant le cancer avec la tumeur, le cancérologue se contente le plus souvent de la détruire, sans se préoccuper de changer les conditions qui ont favorisé son éclosion. Ce faisant, il ne peut espérer une réussite complète.

Une tumeur cancéreuse ne pousse pas sur un terrain vierge…

Il lui faut un certain nombre de conditions favorables à son développement :

• Conditions de pH
• Potentiel d’oxydoréduction
• État du système immunitaire
• Taux de sodium
• Polarisation de la membrane cellulaire
• Etc.

Ces conditions maintenues… les raisons d’une récidive demeurent…

Cela implique donc la poursuite de la radiothérapie ou de la chimiothérapie, parfois… à vie. Mais la haute toxicité de ces thérapeutiques interdit leur poursuite indéfiniment.

Ne pas renforcer les défenses propres de l’organisme est source d’échec…

L’organisme humain est extrêmement élaboré. Son métabolisme lui permet (entre autre) de contrôler la croissance cellulaire.

Aujourd’hui, il est avéré que de petites tumeurs cancéreuses naissent épisodiquement dans le corps de chacun et qu’un organisme en bonne santé est capable de les contrôler et de les détruire.

« Sur 60 millions de Français, 59.500.000 n’ont pas de cancer, ne suivent pas de chimiothérapie ou de radiothérapie car leur mécanisme de contrôle fonctionne bien ».

Le Dr Levy propose donc une double stratégie de lutte contre le cancer : renforcer le système de contrôle et affaiblir la cellule cancéreuse. Il s’agit de fonder une double politique de prévention et de soins appropriés.

Les mécanismes de la cancérogenèse (sujet polémique)

Différentes théories contradictoires ont été émises pour expliquer la genèse du cancer. Le Dr. Lévy s’est intéressé à celles qui reposent et/ou se fondent sur :

• Des arguments sérieux
• Des bases expérimentales solides.

Ce travail l’a conduit sur les traces de ces fameux chercheurs en rupture avec l’establishment médico-pharmaceutique.

«Toute cellule vivant en milieu acide et mal alimentée en oxygène s’acidifie. Dès lors, elle peut se transformer en cellule cancéreuse».

Dr Keith Brewer

Le Pr Keith Brewer, physico-chimiste américain a mis au point un protocole méconnu en France : la Hight pH cancer therapy (cf doc PDF disponible dans les sources en bas de page). Il consiste à utiliser différentes substances dont notamment le césium* et le rubidium qui captent les ions H+ (acides) présents dans les cellules cancéreuses, ce qui alcalinise la cellule et tend à remonter son pH vers un pH basique. Le protocole inclus une surveillance et si nécessaire, une complémentation en potassium, en vitamine C et E en sélénium, voire en zinc. Lorsque le pH de la cellule cancéreuse augmente et devient basique, son développement cesse. Elle a alors le choix entre la réparation ou la destruction. * Cf le document PDF de l’Afssaps sur les risques d’utilisation du césium dans les sources en bas de page. Pour ceux qui souhaitent un peu plus de détail sur le principe :  Les acides s’accumulent dans la tumeur cancéreuse… L’organisme afin de rééquilibrer, réagit en compensant par une consommation accrue des minéraux alcalins disponibles pour les libérer dans le sang et créer une alcalose. En plus d’absorber l’acidité de l’organisme, la membrane des cellules cancéreuses devient imperméable au calcium et au magnésium, minéraux alcalins qui permettent normalement l’entrée de l’oxygène. C’est pourquoi la cellule cancéreuse doit vivre en milieu anaérobie (milieu dépourvu d’oxygène) ce qui l’oblige à tirer son énergie du glucose. Cette manière de fabriquer l’ATP (adénosine triphosphate) produit une grande quantité d’acide lactique et aggrave l’acidité de la tumeur. C’est cette hyperacidité qui est à l’origine de la plupart des cancérisations. Pour stopper ce mécanisme, une solution consiste à alcaliniser la cellule… Pour remonter le pH de la cellule cancéreuse il faut y faire entrer des substances alcalines. Or, il n’est pas compliqué de trouver des alcalins puisque l’organisme est en alcalose en réaction à l’acidité de la tumeur. Inutile d’en donner ce qui risquerait au contraire d’aggraver la situation. Il suffit d’inciter les substances alcalines présentes dans l’organisme, à entrer dans la tumeur. la Hight pH cancer therapy consiste à utiliser différentes substances dont notamment le césium et le rubidium qui captent les ions H+ (acides) présents dans les cellules cancéreuses, ce qui tend à remonter leur pH acide vers un pH alcalin. Le protocole inclus une surveillance et si nécessaire, une complémentation en potassium, en vitamine C et E en sélénium, voire en zinc. LES RESULTATS AVÉRÉS SUR L’ HUMAIN  :  Des essais ont été effectués sur plus de 30 humains. Dans 100% des cas, 100% des masses tumorales ont disparu. Toutes les douleurs et les effets associés au cancer ont disparu dans les 12 à 36 heures; Plus le patient avait pris de chimiothérapie et de morphine , plus la durée de rémission était longue . Des études sur la consommation alimentaire dans les zones où les incidences du cancer sont très faibles ont montré qu’il répondait aux exigences de la thérapie pH élevé. (cf ci-dessous 3 ème citation du Dr Levy)

« Dans les conditions normales, l’énergie de la cellule est fournie par la combustion du sucre en présence d’oxygène. En l’absence d’oxygène, un autre mécanisme entre en jeu : l’énergie de la cellule est fournie par la dégradation du glucose en acide lactique; le milieu intracellulaire devient alors acide. Cette acidification induit des conséquences graves pour toutes cellules.»

Dr. Lévy

« Quand on sait qu’une acidification excessive modifie les chaînes d’ADN des chromosomes et fait perdre à la cellule le contrôle de la multiplication cellulaire, on comprend que les traitements par « acidose » sont une erreur fondamentale et que alcalinisation et oxygénation sont prépondérante dans la prévention.»

« Ce processus peut être combattu en diminuant l’acidité du milieu intracellulaire. Cela peut être réalisé à l’aide du césium* ou du rubidium.»

Dr. Lévy

Cette solution thérapeutique provient de l’observation de 2 populations géographiquement éloignées très peu touchées par le cancer :

• Les Hunzas du nord Pakistan : qui boivent une eau riche en potassium et en caesium.
• Les Indiens Hopi de l’Arizona : qui consomment la Chamisa, une plante du désert particulièrement riche en rubidium et en potassium.

Or, des études effectuées chez la souris confirment l’efficacité du rubidium en tant que thérapeutique anticancéreuse.

Le Dr. Lévy aborde aussi les travaux de Fritz-Albert Popp, inventeur de la «biologie de la lumière» pour qui, les cellules vivantes sont douées d’un pouvoir photo-réparateur : une émission d’un rayonnement ultraviolet (le bleu de Pop) de 400 nanomètres (nm), nommée photo-réactivation.

« On désigne par « pouvoir photo-réparateur » le phénomène expérimentalement établi par lequel, quelle que soit la façon dont ils ont été provoqués, les dégâts génétiques des cellules et des formations cellulaires se réparent pratiquement en quelques heures dès qu’ils sont irradiés par un faible rayonnement ultraviolet d’une bande spectrale particulière (aux alentours de 400 nm de longueur d’onde).

« Il est vraisemblable que les tissus lésés émettent spontanément ce rayonnement, effectuant ainsi leur propre restauration. La cancérisation pourrait alors résulter d’un processus bloquant cette photo réparation.»

Fritz-Albert Popp

« Un argument de poids renforce cette hypothèse: le 3-4 benzopyrène est capable d’absorber ce rayonnement de 400 nm. Or, ce dérivé du benzène (que l’on trouve dans le tabac) présente justement un fort pouvoir cancérigène. Certes, ce mécanisme n’est peut-être pas le seul en cause dans la genèse du cancer, mais il permet d’expliquer de façon plausible certaines formes de cancérisation induites par des produits chimiques toxiques.»

Dr. Lévy

Des causes et des solutions…

Parmi d’autres causes de cancer ou de prolifération des cellules cancéreuses étudiées dans ce livre, on peut citer :

• La chute de la capacité électrostatique cellulaire
• La surproduction de radicaux libres
• La formation de mucus autour des cellules cancéreuses
• La présence de substances chélatrices dans l’alimentation.

« Les cellules normales du sein ont, de part et d’autre de leur membrane, une capacité électrostatique de 18 picofarads. Il arrive souvent que cette capacité chute et tombe à 8 ou 9 picofarads (cela a été observé dans les tumeurs du sein). Dans ces conditions, la probabilité de développement d’un cancer est fortement augmentée. Toute substance capable de relever la capacité électrostatique, comme le Squalène ou l’EAP calcique, est donc capable de s’opposer au développement du cancer. »

Dr. Lévy

Surproduction de radicaux libres… facteur de cancérisation…

« Les radicaux libres sont une espèce chimique réactive et instable, qui apparaît dans de nombreuses réactions du métabolisme. Lorsqu’ils sont produits en quantité raisonnable ils sont utiles et jouent un rôle physiologique important. Mais produits en trop grande quantité : ils agressent les membranes cellulaires et le noyau et favorisent la cancérisation.»

Dr. Lévy

Les radicaux libres ont deux sources d’origine…

Endogène (fonctions métaboliques) :

• Stress
• Alimentation
• Respiration
• Hygiène de vie
• Etc.

ET/OU

Exogène (extérieur au métabolisme)

• Pollution
• Tabac
• Rayonnements UV solaires
• Rayons X utilisés en radiodiagnostic et radiothérapie
• Rayons gamma de la radioactivité
• Suroxygénation
• Etc.

«Les antioxydants, tels les vitamines A, C et E, le sélénium, la superoxyde dismutase (SOD), etc. permettent de neutraliser les radicaux libres. Il va de soi qu’une alimentation très carencée en ces éléments sera un facteur favorisant la cancérogenèse. »

Dr. Lévy

«Pour détruire les facteurs étrangers susceptibles de nuire au bon fonctionnement de l’organisme (microbes, antigènes), nous sommes équipés d’une armée de globules blancs. Au sein de laquelle, une troupe de choc spécialisée est affectée à la lutte et à la destruction des cellules cancéreuses, il s’agit des Natural Killers (NK) (appelés lymphocytes NK en français) »

Dr. Lévy

«Les NK injectent dans les cellules malignes des substances toxiques qui les tue qui dérivent de la vitamine D2*. Ainsi cette vitamine s’avère indispensable à la lutte anticancéreuse. Cette notion est, hélas, généralement ignorée de la cancérologie conventionnelle ! »

Dr Lévy

9 aliments reconnus riches en vitamine D sont :

• les huiles de foie de poissons
• la chair des salmonidés
• le hareng
• l’oeuf
• le foie de veau
• le lait de soja
• Le thon en conserve
• Les champignons de Paris

Attention : Les foies d’animaux sont le filtre de leur organisme… mieux vaut consommer du foie d’animaux issus de l’élevage biologique afin d’éviter au maximum les résidus pouvant être malsains voire toxiques qui peuvent être contenus dans les organismes d’animaux issus d’élevages intensifs ou conventionnels. Evitez les vitamines de synthèse issus des laboratoires pharmaceutiquescar  vous ne maîtrisez pas les potentiels effets secondaires des adjuvants qu’elles contiennent et semblent peu biodisponibles (peu assimilables et synthétisables par notre métabolisme)

« Pour se défendre contre les lymphocytes tueurs (NK et lymphocytes cytotoxiques), les cellules cancéreuses sécrètent une substance mucoïde dont elles s’entourent pour se protéger. Ainsi, les lymphocytes sont réduits à l’impuissance. Détruire cet écran de mucus est donc indispensable. Ce rôle est habituellement réservé au bêta-carotène*, une vitamine naturelle, dont la molécule possède des charges électriques libres capables de disperser l’écran de mucus. Il est également possible de dissoudre l’écran de mucus en faisant appel aux propriétés enzymatiques de substances naturelles (ex : la bromélane extraite de l’ananas). A l’inverse, la caséine du lait est susceptible de renforcer cette couche mucoïde. C’est pourquoi les laitages sont peu recommandés en cas de cancer. »

Dr. Lévy

Cliquez sur ce lien pour découvrir : Les aliments riches en bêta-carotène

« Un autre aspect de la cancérogenèse est généralement ignoré : il s’agit du rôle joué par les substances chélatrices présentes dans l’alimentation. Les chélateurs sont de grosses molécules capables de capturer et d’emprisonner certains oligo-éléments et minéraux alcalins jouant un rôle important dans l’immunité anticancéreuse : »

• Le magnésium
• Le sélénium
• Le zinc
• Le manganèse

« Lorsqu’ils sont chélatés, l’organisme est très diminué dans ses capacités de défense. »

« Parmi les chélateurs, on trouve :

• Des pesticides utilisés en agriculture
• De nombreux colorants et conservateurs utilisés dans l’alimentation
• Des médicaments
• Des vaccins…

« Ils ne présentent pas une action cancérigène directe mais privent l’organisme de moyens de défense essentiels. »

Si l’on ajoute à cela…

Le fait que les engrais chimiques contiennent de trop faibles quantités de:

• Sélénium
• Magnésium
• Zinc

Et aussi…

Le fait que notre vie et alimentation moderne avec ses stress répétés entraîne des déperditions importantes en ces éléments essentiels… On comprendra à quel point le mode de vie contemporain peut s’avérer propice au cancer.»

Dr Levy

Un pavé dans la mare…

Ces quelques extraits aurons su, je l’espère, susciter votre intérêt pour ce livre bien fait dont la portée est… immense.

Dans la 2 ème partie de l’ouvrage, le Dr. Lévy y détaille :

• Les thérapeutiques au cas par cas
• La prévention
• Les techniques de détection précoce de l’apparition de cellules cancéreuses dans l’organisme (tests décriés par la médecine « orthodoxe » qui préfère employer ses instruments de haute technologie quand la tumeur est déjà bien visible.)

Pendant des décennies, nombre de médecins se sont faits les apôtres d’une politique médicale inepte, basée sur la chimie au service du traitement des effets (tumeurs) et non de leurs causes (cancer).

Qui plus est, des professionnels de santé tributaires des industries pharmaceutiques et des fabricants d’appareils sophistiqués se sont tournés vers une stratégie anticancéreuse somptuaire.

Si j’ai choisi les travaux et le livre du Dr Levy comme sujet de cette chronique, ce n’est pas par hasard…

voici les 3 principales raisons :

• À voir la résonnance que certaines des recherches, découvertes et pratiques sérieuses peuvent avoir avec l’hygiène de vie et alimentaire alcalinisante que je prône et partage à titre informatif et préventif, ici, sur Bouchées Doubles…
• À voir la richesse des pistes scientifiques et médicales sérieuses testées avec succè* dans la démarche scientifique et pluridisciplinaire des recherches du Dr Levy et consignées dans ce livre (à ma connaissance, malheureusement pas réédité)…
• À voir tant d’anonymes muselés par des campagnes de dénigrements et d’interdictions avant même d’avoir pu mener leurs travaux « de chercheurs originaux » à terme (tels que Beljanski, Benveniste, Hamer, Elmiger, Gernez…)…
• Des liens vers des vidéos et interviews intégrales de Dr Elminger et Dr Gernez sont aussi disponibles dans les sources de l’article.

Je me suis dit qu’en parler n’était que justice et ceci dans l’espoir de transmettre savoir et vérité pour que vérité finisse par se savoir…;-)

Il n’est que justice que certaines vérités apparaissent au grand jour.

On en discute ? 🙂

Si cette article vous plaît partagez-le ! Merci d’avance ! 🙂 Les boutons vers les réseaux sociaux sont là pour ça en bas de cette page.

Vous pouvez aussi laisser un avis, une question, un commentaire… avec plaisir ! 🙂

Sources :

***IMPORTANT*** Le lien vers les exemplaires encore disponibles du Dr Levy est un lien affilié : si vous cliquez dessus et achetez le livre, cela me permettra d’avoir  5 % de commission sans que ça n’augmente pour vous son prix de vente. En faisant ce geste gratuit pour vous, vous contribuerez au frais de maintenance de ce blog et vous me ferez donc plaisir. Merci d’avance ! 🙂

Le livre du Dr Levy :

La thérapie alcaline du docteur Keith Brewer ; The high pH therapy for cancer tests on mice and humans(PDF téléchargeable mais en anglais)

Documentaire vidéo et interview intégrale et édifiante du docteur Gernez : DR Gernez, le scandale du siècle.

Interview du docteur Elminger sur la chaîne Santé Conférences

The high pH therapy for cancer tests on mice and humans (synthèse)(en anglais)

Détail des risques associés à la prise de chlorure de césium rapport fait à la demande de l’afssaps. Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (PDF)

Les 3 volets du cancer