Soigner l’équilibre acido-basique prévient bien des maux
Evitez l’acidose métabolique latente…
Soigner son équilibre acido-basique permet entre autre de limiter et prévenir les risques d’ Acidose Métabolique Latente (AML) ? Pour simplifier, comprenez par AML : « Un peu trop d’acides tous les jours, tout le temps ». D’après les experts, l’ AML est très répandue en occident à cause de notre trop grande sédentarité et d’un alimentation abondante aux proportions déséquilibrées entre aliments alcalinisants et acidifiants. L’ AML est insidieuse car on ne ressent pas immédiatement ses effets délétères sur notre santé. Pourtant l’AML s’installe progressivement à notre insu et fatigue l’organisme en le contraignant à puiser dans ses réserves minérales alcalines afin de compenser les déficits en apport en minéraux alcalinisants. Avant même l’épuisement de ses réserves, les carences en minéraux sont déjà suffisamment importantes pour créer des dysfonctionnement organiques et cellulaires qui créent des micro et macro-inflammations qui font le lit de nombreuses maladies (cf. liste non exhaustive ci-dessous).
Vieillissement accéléré :
Équilibre acido-basique et équilibre antioxydants sont liés et indissociables.
Lorsque le premier est déséquilibré il favorise et accentue l’oxydation de l’organisme, donc accélère le vieillissement de nos cellules. En intégrant dans votre assiette une bonne quantité de légumes, vous vous garantissez un bon équilibre acido-basique. Si en plus, ces fruits et ces légumes sont très antioxydants, c’est top ! Pensez aux herbes fraîches ou déshydratées : persil, basilic, laurier, thym, coriandre fraîche, herbes de Provence, romarin, etc, qui en plus d’être aromatiques gagnent sur tous les tableaux : leur PRAL est remarquable et elles sont bourrées de minéraux et d’antioxydants ! Et pour les mêmes raisons, pensez aussi aux épices ! 😉
Appétit :
Notre appétit est détraqué par la boulimie, l’anorexie ou des fringales ?
Notre faim est liée à notre taux de sucre dans le sang appelé glycémie.
Lorsque la glycémie baisse, le cerveau ordonne de manger et de préférence des aliments sucrés… c’est très gênant, surtout si on cherche à maintenir son poids ou à en perdre.
C’est carrément préjudiciable pour quelqu’un de diabétique ou de pré diabétique…
Il est donc important de maîtriser sa glycémie.
Pour cela, un bon équilibre acido-basique est indispensable. Dans le cas contraire, vous pouvez vous attendre à des troubles de la glycémie et des conséquences connues : des fringales, un appétit insatiable, des coups de pompe et des hypoglycémies (taux de sucre dans le sang trop bas).
A moyen terme, cela peut déboucher sur un diabète de type 2 et à long terme sur un syndrome métabolique.
Les anomalies glycémiques doivent toujours être suivies par un médecin endocrinologue ou diabétologue.
Le syndrome métabolique c’est du cholestérol associé à de l’hypertension, eux-mêmes associés à du surpoids abdominal.
L’équilibre acido-basique est indispensable à d’autres équilibres dans le corps y compris celui qui régit nos hormones. Trop d’acidité déséquilibre l’hormone du stress qui augmente à son tour la glycémie. A long terme une perturbation chronique de la glycémie favorise le syndrome métabolique et son lot d’ennuis : diabète, accident cardiaque, hypertension, augmentation du risque de cancer.
Calculs biliaires :
Ce sont des cailloux constitués d’amas de cholestérol et de minéraux accumulés.
Lorsqu’ils provoquent une crise des nausées, des vomissements, des lenteurs digestives, un mal de ventre intense et prolongé, des douleurs à distance souvent dans l’épaule ou l’omoplate droite peuvent se manifester.
Pour prévenir les calculs il vous suffit de manger moins de viande, de sauces grasses mais plus de fruits, de légumes, de châtaignes, de haricots secs pour les fibres, et boire beaucoup d’eau , ou mieux, de l’eau chaude ou froide avec du jus de citron.
Calculs rénaux :
C’est l’amalgame d’acide de sels minéraux présents dans l’urine qui forment des cailloux.
La parade pour les calculs rénaux est simple : moins on consomme d’aliments acidifiants, moins on retrouve d’acide dans l’urine et moins il y aura de matière pour fabriquer des calculs. Comme pour ses cousins biliaires, l’excès de protéines de sel associé au manque de fibre et d’eau sont les plus courts chemins pour en fabriquer !
Cancers :
D’après les experts, une tumeur cancéreuse est généralement acide. C’est pourquoi l’idée d’y introduire des alcalins a été proposée, le but étant de susciter soit la réparation de la cellule cancéreuse (normalisation), soit son auto-destruction. C’est ce qui a été tenté en particulier avec la Hight pH therapy, un protocole mis au point par le physico-chimiste américain Keith Brewer. Notre stress et nos émotions sont des facteurs de cancérisation qui sont eux-mêmes parfois liés et engendrent un trouble acido-basique. Certains scientifiques tendent à prouver qu’il y a donc bien des corrélations fortes entre un déséquilibre acido-basique et cette maladie.
Caries :
Les sucres rapides et lents (comme le pain, les pâtes, les fruits, les jus de fruits) sont les principaux fournisseurs de caries. Jusqu’ici à rien de neuf ! Un déséquilibre acido-basique est un mécanisme plus insidieux qui peut abîmer les dents. Lorsque notre organisme est trop acide, il pioche dans nos réserves de calcium pour rétablir son équilibre et se sert dans :
- Notre squelette
- Nos tendons
- Nos dents
Elles deviennent donc plus vulnérables.
Bien entendu, un bon équilibre acido-basique ne dispense pas des brossages de dents ! Notre équilibre et une hygiène dentaire régulière nous évitons aussi des infections gingivales douloureuses.
Constipation :
Là encore rien de neuf sous le soleil d’Occident ! Notre alimentation souvent trop riche en protéines et trop pauvre en fibres, donc en aliments d’origine végétale et en eau peut être source de constipation. La sédentarité rend notre transit intestinal paresseux. Les recettes de Bouchées Doubles (autocélébration) combinées à une hygiène de vie saine (exercices, activité physique, marche en plein air) viendront à bout de ce genre de trouble.
Courbatures :
Les courbatures, crampes et contractures sont imputables à un déséquilibre acido-basique. Celles dues au sport peuvent être liées à une saturation d’acide lactique dans les fibres musculaires. Les crampes nocturnes et la douleur pendant et après un effort nul ou modéré viennent fréquemment d’un manque de potassium et/ou de magnésium, 2 minéraux hautement alcalinisants. Vous trouverez ces 2 minéraux bio disponibles dans vos fruits et légumes.
Si vous assimilez mal ces minéraux, rien ne sert de les prendre massivement en complément alimentaire. La clé est là encore dans votre assiette pour améliorer votre équilibre acido-basique. C’est plus efficace moins coûteux et plus respectueux pour votre organisme et pour l’environnement !
Déprime :
Notre moral et nos humeurs résultent d’un équilibre subtil entre différents
paramètres ! Pour que nous nous sentions bien, il nous faut :
- un confort thermique
- des sucres lents (IGB)
- des omégas3
- du sommeil
- de la lumière
- des vitamines
- des minéraux alcalinisants
Ces derniers sont utilisés par l’organisme pour neutraliser l’acidité et il n’en reste pas toujours suffisamment pour lisser votre humeur.
Un déséquilibre acido-basique irrite donc aussi nos nerfs ! Grrrrrrrr !
Joie de vivre et sérénité ont donc rendez-vous avec nous dans votre assiette !
Douleurs articulaires et tendineuses (arthrite, arthrose) :
Les rhumatismes sont parfois la manifestation douloureuse d’un excès d’acidité.
Même si un diagnostic est posé par un médecin, les douleurs articulaires chroniques, installées ou intermittentes, doivent nous induire un équilibrage acido-basique car une hyper acidité maintient l’inflammation partout où elle siège : retour des vaisseaux sanguins, dans les gencives, dans les articulations, etc…
Fatigue et épuisement :
Malgré votre hygiène de vie correcte, un bon sommeil, des vacances, votre fatigue persiste ? C’est un symptôme courant de déséquilibre acido-basique.
Nos enzymes travaillent partout dans notre corps mais a un pH bien précis.
S’il varie, nos petits enzymes du mal à assurer leur travail malgré leurs petits bras musclés ! Tout devient alors fastidieux… lent… pfffffff… houlala…
Car leur rôle est d’accélérer les échanges dans notre corps, le métabolisme, notre digestion. Sans ces Speedy Gonzales, il nous faudrait plusieurs jours pour digérer du pain alors… pour une potée… Heu…Comment vous dire ?
Plutôt que de vous bourrer de vitamine C, de caféine, de plantes stimulantes, ou encore de stimulants et excitants alimentaires naturels mais acidifiants (gelée royale, pollen, levure de bière) commencez par vous intéresser de près au contenu de votre assiette. Vous allez vous dire que je me répète ?
NB : quitte à prendre des compléments alimentaires, misez plutôt sur la spiruline, une micro-algue alcalinisante qui rechargera vos batteries.
Fertilité :
Le mauvais équilibre acido-basique peut participer à une baisse de la fertilité. Une maman allaitante qui veille à son bon équilibre acido-basique peut minimiser le désagrément des coliques à son bébé. Mais ne culpabilisez pas si tel n’était pas le cas !
Fonte musculaire :
Idée reçue N°1 : consommer de la protéine animale (viandes, poissons, œufs, etc) est le meilleur moyen d’augmenter et conserver la masse musculaire.
Nous en avons besoin mais pas trop ! Au-delà d’un certain seuil, un apport excessif en protéines perturbe la construction musculaire en créant une acidose métabolique latente qui :
- diminue la synthèse protéique (la construction des protéines de muscles)
- augmente la protéolyse (la dégradation des protéines et la fonte musculaire)
Il faut donc équilibrer son alimentation et éviter tout régime hyper protéiné.
Le muscle sera fabriqué par l’effort physique mais pas uniquement par du steak saignant !
Frilosité :
Avoir souvent vos pieds et vos mains froids et ressentir le froid en permanence est un classique du déséquilibre acido-basique. Il conduit à un ralentissement général d’où émanent de la fatigue, du manque de vivacité d’esprit, une circulation sanguine médiocre.
Il faut sortir, bouger, respirer pour relancer la circulation du sang, l’oxygénation des cellules et éliminer plus d’acides par les voies respiratoires.
Peau, ongles et cheveux :
La peau est composée de 3 grandes couches :
- épiderme (superficielle)
- derme (médiane)
- hypoderme (profonde)
La peau possède un pH relativement acide à l’extérieur (épiderme) afin de se défendre contre les microbes et autres bactéries. A ce titre, la muqueuse du vagin en est une illustration avec un pH acide allant de 4,4 jusqu’à parfois 7,5 qui est nécessaire à maintenir ses défenses.
D’une façon générale le pH devient plus basique au fur et à mesure que l’on s’enfonce dans les couches profondes (hypoderme) de la peau. Une modification de cet équilibre délicat engendre des troubles.
Plaques, boutons, rougeurs, irritations, zones douloureuses, sont des manifestations inflammatoires. Des problèmes passagers peuvent exister lorsqu’on est exposé à des facteurs comme par exemple, le froid, le chlore de la piscine, la sueur, l’exposition à des produits cosmétiques et/ou chimiques, des réactions à des teintures, des matières, des textiles, etc.. Mais lorsque ceux-ci perdurent, insistent ou récidivent malgré un changement approprié d’habitudes, de produit ou de matières ou lorsqu’ils se combinent à d’autres désagréments comme une fatigue éprouvée même sans faire d’efforts, des douleurs, une mauvaise haleine… un déséquilibre acido-basique peut-être suspecté.
Problèmes cardiaques :
Le déséquilibre acido-basique provoque des micro-inflammations.
Ces dernières sont désignées comme responsables N°1 des accidents cardiaques qu’il s’agisse d’un infarctus ou d’une attaque cérébrale. Là encore de nombreux facteurs sont impliqués. Mais c’est l’inflammation qui le déclenche lorsque tous les facteurs néfastes sont réunis.
Là encore, la solution est dans votre alimentation :
Limitez les viandes, les sauces, les plats industriels, les pâtisseries, les produits laitiers, les farines et sucres trop raffinés. Augmentez les fruits et les légumes que vous transformez vous-même en les cuisinant constitue une excellente prévention.
Spasmophilie
Les symptômes sont sensibles au manque de minéraux notamment de calcium et magnésium. Si le sang est obligé de récupérer des minéraux dans les cellules, une personne spasmophile peut alors ressentir des effets décuplés et évidents : des fourmillements, un mal-être et autres symptômes bien connus des spasmophiles, qui peuvent même les conduire parfois jusqu’à la crise de tétanie. Pas glop !
Une hygiène de vie étudiée, du calme, du sommeil, des repères, des horaires réguliers pour les repas, des activités, une assiette riche en minéraux et en composés végétaux est profitable.
Sport et douleurs :
Un travail musculaire intense induit la fabrication d’acide lactique responsable de raideurs et de douleurs musculaires de type courbatures.
On trouve là une application spectaculaire de l’équilibre acido-basique.
Ne laissez pas s’installer l’acide lactique au fur et à mesure que vous vous refroidissez, pensez à terminer votre effort par des étirements, une douche chaude. Vous pouvez aussi boire dès que possible après le sport une eau riche naturellement en bicarbonates (Type : Vichy Saint-Yorre) ou, si votre estomac l’encaisse : des jus de fruits frais fortement dilués dans de l’eau. Ces simples précautions tamponneront une bonne partie de l’acide lactique et favoriseront son élimination.
Tendinites :
Bien connu du grand public et des sportifs. Un excès d’acide urique qui va se loger là où il n’a rien à faire : dans nos tendons.
Les facteurs : l’exercice physique trop intense ou trop répétitif, l’excès d’aliments et de protéines d’origine animale et le manque d’hydratation, aggravent la tendinite.
Stress, irritabilité, mauvaise humeur :
Notre alimentation, si elle est acidifiante, augmente l’élimination urinaire du magnésium qui est notre bouclier antistress. Donc, plus on mange de viande, plus on perd de magnésium, plus on est sujet au stress, au bruit, et moins on supporte les tracasseries ou les aléas du quotidien.
Ce minéral est souvent déficient chez bon nombre d’entre nous, surtout chez les femmes au régime (de surcroît s’il est hyper protéiné type « Ducan »). C’est donc dommage de le gaspiller !
Par ailleurs, le magnésium est fortement impliqué dans la santé cardio-vasculaire.
Autrement dit : le stress, l’irritabilité, la mauvaise humeur et la colère tracent la voie de la menace cardiaque !
Or, l’acide urique se dissout normalement dans les liquides physiologiques si leur pH est adapté. Si ce dernier est acide, l’acide urique mute en cristaux responsables de l’inflammation et de la douleur.
Voilà.
Vous savez presque tout et peut-être que certains d’entre vous en savent même davantage que n’en dit cet article… Toujours est-il que comme le dit l’adage : « mieux vaut prévenir que guérir » autrement dit alcaliniser plutôt qu’acidifier. Alors j’espère que maintenant vous avez du baume au cœur pour enfiler un tablier et passer en cuisine et faire quelques recettes alcalines… 😉
Pour aller plus loin…
Je vous invite à découvrir cet article : 15 raisons de soigner son équilibre acido-basique.
Bonjour et merci beaucoup pour cet article que j’ai découvert en faisant des recherches sur les malaises qui m’habitent depuis des années. Personne n’a mis un nom sur mes symptômes pendant plus de 30 ans jusqu’au jour où j’ai enfin trouvé un naturopathe qui m’a dit que j’avais une candidose. A force de recherche mon côté j’ai pensé avoir aussi un déséquilibre acidose basique. Je prends une gélule d’HE en mélanges et de mon propre chef, des comprimés d’alcaflore. Le seul problème c’est que je ne sais si je fais bien et surtout combien de temps je dois prendre ces comprimés et si c’est suffisant ? Je suis désemparée à l’idée de me débattre seule avec ce problème qui dure depuis si longtemps ! Pourriez vous me conseiller s’il vous plaît ? Je vous en remercie vivement.
Bonjour,
Merci de la confiance que vous me témoignez en me demandant conseil sur votre état de santé.
J’espère que vous comprendrez qu’il ne serait ni professionnel, ni sérieux de vous donner conseils avec si peu d’éléments tangibles malgré votre message détaillé et développé. J’en suis navré mais mon éthique personnelle et professionnelle m’empêche de faire cela. C’est pour cela que je propose un bilan d1 h 30 avant tout suivi individuel personnalisé. Il sert à bien cerner les habitudes et l’état général de la personne de façon bien plus précise qu’un commentaire dans lequel vous ne me livrez que les éléments auxquels vous pensez au moment où vous m’écrivez. Mais quid des multiples autres facteurs de santé qui peuvent être en balance ? Je suis donc désolé de devoir vous répondre pour ces raisons par la négative. J’aurais aimé vous aider mais ce n’est pas possible. Un conseil : fuyez toute personne qui vous donnera un conseil de santé personnalisé à la lecture d’un commentaire de quelques lignes résumant votre préoccupation sur un blog ou dans un réseau social. C’est dangereux.
Belle journée à vous malgré tout.
Au plaisir…
Je découvre votre blog aujourd’hui et je tiens à vous dire merci pour toutes ces informations et pour le ton que vous employez. Je tente de modifier mes mauvaises habitudes alimentaires depuis très longtemps si longtemps qu’aujourd’hui tout mon corps est détraqué et je souffre d’un tas de maux. Pourtant les changements à effectuer me semblent insurmontables et m’angoissent et je reporte sans cesse. La lecture de votre blog me donne du courage grâce à la simplicité et à l’accessibilité de vos conseils.
Avec gratitude.
Laureline
Bonjour Laureline,
Un GRAND MERCI à vous ! Vos retours sur le blog me font plaisir et me vont droit au coeur ! Merci d’avoir pris le temps de les écrire !
Je suis chaque fois heureux de découvrir que mon travail est utile et vous aide ! C’est bien là la vocation et le but du contenu de ce blog !
L’accessibilité des informations et le ton plutôt positif sont pour moi importants.
En effet, je tiens à me démarquer du catastrophisme ambulant des sites qui jouent sur les peurs et les accroches négatives pour faire ds vues et/ou des ventes !
Donc génial si le fond et la forme vous conviennent ! 🙂
Belle journée à vous et au plaisir…
PS : Je sors bientôt mon 1er livre en version numérique et papier. Peut-être aimeriez-vous que je vous prévienne de sa sortie ?
Expérience faite, le Pollen est excellent pour soutenir les nerfs lors des changements de saisons…printemps et automne.
Bonjour,
Merci pour ce partage d’info ! 🙂
Bonjour. Merci pour cet article qui m’a tout appris. En effet je réalise que je ressens tout les désagréments présentés. Tendinite, arthrose, hypertension…maintenant je suis au stade de la crise de spasmophilie et un régime alcalin m’a été prescrit. C’est pourquoi votre guide m’est précieux. Merci merci. Je suivrai tout les conseils sur Facebook. Merci encore.