10 erreurs alimentaires à éviter pour prévenir sa santé

Les mésaventures alimentaires de Julie

OU

10 erreurs à éviter

pour rester en bonne santé.

Aujourd’hui, je vous invite à découvrir l’édifiante expérience nutritionnelle et santé de Julie.

Son parcours est peut-être déjà, ou pourrait être aussi, celui de tout un chacun. 

Le chemin d’une personne possède souvent une résonance avec nos propres expériences.

Un effet miroir qui permet de se situer et parfois d’apprendre, voire de comprendre les nôtres…

 

Temps de lecture estimé : environ 12 mn 

 

Julie est une femme active, divorcée et une briscarde de l’alimentation. Malgré elle ! 

Elle est lasse de toutes ses vaines tentatives de changements alimentaires.

Pas faute d’y avoir consacré de l’énergie, du temps et de l’argent.

Des heures passées à glaner des informations… à tenter de comprendre la nutrition.

Des heures perdues à lire tout et son contraire, d’un site à un autre, parfois en 1 mn.

Parfois des mois à s’affamer, en se privant de tel ou tel aliment en fonction du régime.

Des mois déséquilibrants physiquement et nerveusement. 

Julie en a désormais marre des diètes, des régimes et autres chimères alimentaires.

Elle est désormais à fleur de peau, à force d’insuccès, d’échecs.

À bout, elle sait ce qu’elle ne veut plus, mais ne sait plus ce qu’elle veut.

Désorientée, elle se dit qu’heureusement, sa fille vole de ses propres ailes et n’assiste pas à ça.

 

Autrefois, lorsqu’elle mangeait de tout, ses repas se composaient de charcuterie en entrée, suivi de viande ou du poisson en « plat de résistance ». 

Elle aimait particulièrement les accompagner de féculents, de pâtes ou de riz.

C’est facile, pratique et vite fait les pâtes et le riz  ! Et puis ça cale !

Pareil pour le steack ou le poisson, et en plus c’est vite cuit ! 

Surtout quand on n’a pas que la cuisine à faire dans sa vie ! 

Julie mangeait même parfois des plats tout prêts du commerce.

Elle ne rechignait pas de manger un cordon bleu ou de s’ouvrir un cassoulet en boîte.

Mais ce qu’elle adorait par dessus tout, c’était conclure ses repas par du fromage et un dessert.

Peu lui importait lequel, pourvu qu’il y est cette note sucrée.

Le tout avec une bonne baguette bien fraîche chaude de préférence.

Elle y passait d’ailleurs souvent en un repas.

Ensuite un p’tit café au lait avec du sucre et c’était reparti ! 

Vers 16 h lorsqu’elle avait un coup de pompe, Julie avait son truc.

Oh pas une cochonnerie comme un Mars ou un Twix ! Non.

Un truc sain : une barre chocolatée aux céréales et hop ! Ça repartait !

Un jour, Julie a pris du poids… trop selon elle.

Certains lui ont dit que c‘était l’âge, d’autres les calories, d’autres les hormones, d’autres encore…le stress. Bon…

Pour savoir, Julie s’est mise en mouvement et à temps perdu, en quête d’informations sur internet.

Sur certains sites et sur les réseaux sociaux, elle a pris conscience de certaines choses.

De fil en aiguille, elle a lu des livres de « grands pontes » médicaux.

Puis, convaincue par certaines lectures, elle s’est lancée dans son premier régime amaigrissant.

La chasse aux graisses et la battue aux calories s’est ouverte ! 

Julie était très motivée ! 

Cela dura des années, surtout à chaque approche de l’été. 

Elle mangeait peu de graisses alimentaires s’octroyant néanmoins le plaisir d’un dessert certains « jours de gala ». 

Certains régimes appelaient le droit à l’écart comme ça. 

D’autres autrement. 

Elle mangeait aussi moins sucré aussi puisqu’elle l’avait avantageusement remplacé par des édulcorants et des substituts de repas à boire au goût sucré qu’on lui vendait.

Pour que la chasse aux kilos superflus continue, Julie changeait son fusil d’épaule, donc de régime.

Julie perdait du poids… quelques mois.

Julie en reprenait… quelques semaines.

Julie perdait du poids… en reprenait… en reperdait… en reprenait… en reprenait… en reprenait… en reprenait !

 

Julie en avait marre ! Julie avait craqué. Elle avait lâché.

Progressivement, sa vie active s’est mise à la stresser de plus en plus.

Pourtant, son quotidien n’était pas plus ni moins compliqué que d’accoutumé.

Elle se trouvait pourtant de plus en plus taciturne, irritable, parfois irascible, voire imbuvable ! 

Elle se sentait morne, sans enthousiasme, sans plaisir à faire les choses… y compris manger.

Julie finit par se l’avouer : elle avait… la dalle ! Une grosse dalle ! Tout le temps !

La même dalle qui rendait nos ancêtres du paléolithique suffisamment agressifs pour sortir de la hutte, affronter les dangers pour partir à la chasse au mamouth ! Et c’est gros un mamouth ! 

Sauf qu’aujourd’hui… cette fonction originelle de la faim n’est plus nécessaire. 

Fatiguée, stressée, le moral en berne, la voici à nouveau en quête de solutions.

Julie va alors voir un coach sportif. 

Grâce à lui, elle se met à faire du step, du LIA, du cross-fit, du fitness.

Déterminée, Julie ne sèche aucun cours et en parallèle, court pour « sécher » !

Elle augmente même la durée des sorties et prépare un semi-marathon.

Elle souffre mais s’accroche.

Elle s’entraîne dur, car comme lui dit son coach  : « pas de résultats sans souffrance ! »

Il est bon celui-là ! On le garde ! 

Et la voilà partie ! Volontaire et motivée.

Sur les nouveaux conseils reçus, Julie mange moins, mais davantage de protéines.

Elle supplémente son alimentation, s’entraîne beaucoup et consomme des boissons énergétiques.

Elle est fière de ce que son « nouveau corps » devient ! 

Elle change de coiffure, de look et reprend de l’assurance en société.

Les regards sur elle changent. Son regard sur elle aussi.

Cependant une ombre au tableau arrive…

Des crampes arrivent de plus en plus fréquentes, de plus en plus douloureuses, persistantes et tenaces, malgré les étirements. 

Ça la réveille parfois la nuit au point d’en pleurer.

Mais Julie s’accroche. « Pas de résultats sans souffrance »…

Un jour c’est l’entraînement de trop… l’évanouissement.

Au rien de très grave, juste un manque de sucre lui dit-on. 

Allez Julie ! Courage ! Pense à ton objectif.

Elle finit par faire son semi-marathon et l’achève.

Passé la ligne d’arrivée, tout chancelle et Julie s’effondre.

Elle s’éveille dans un lit d’hôpital, sous perfusion.

Un médecin lui explique qu’elle est déshydratée, dénutrie et en hypoglycémie.

Dès le lendemain chez elle, en convalescence, elle a du temps et un bilan sanguin pour réfléchir.

Une fois encore, elle cherche des solutions sur le net.

Non plus pour perdre du poids, non. 

Mais pour combler ses carences.

Elle découvre le site d’un type formidable qui ne jure que par le cru et les jus.

Julie est séduite par son argumentaire. Le type est sûr de lui. Il soigne même des cancers.

Elle suit ses articles, ses vidéos, s’abonne à sa newsletter et ses conférences.

L’homme lui propose un stage de formation qu’elle refuse.

En revanche, elle est persuadée et convaincue par les bienfaits des jus et du cru.

Julie se lance et achète un extracteur de jus.

Elle trouve que ça vaut la « peau du cru » mais c’est indispensable à sa nouvelle diète.

Alors… Julie investit 380 € car d’après l’expert, sa centrifugeuse ne fait pas le même travail.

La vitesse de rotation trop élevée tue les nutriments.

Elle n’a pas compris l’argument.

Mais elle lui fait confiance et passe par lui pour une ristourne de 40 € à l’achat.

Alors… Julie se met à boire… Beaucoup ! 

Elle boit des fruits et des légumes. Elle boit des aliments ! 

Julie mastique du cru aussi… souvent ! 

Elle ne mange plus de farineux cuits, plus de légumineuses, plus de féculents, plus de céréales, plus de viandes, ni de poisson. 

Elle fait ainsi au passage de belles économies sur son budget alimentaire.

Elle achète des fruits et légumes bios afin d’éviter le plus possible les produits chimiques résiduels.

Elle se sent rapidement mieux, dynamique et parfois euphorique ! 

En plus, elle a vu des centenaires témoigner des bienfaits des jus et du cru.

Elle reprend le cours de sa vie normale.

En revanche, Julie souffre de flatulences et d’un inconfort digestif croissants. 

Julie perd rapidement du poids mais pas que du gras : elle constate une fonte musculaire.

Elle n’a quasi plus libido et devient de plus en plus frileuse.

Elle trouve que ses selles ressemblent à des bouses souvent nauséabondes.

Elle est de plus en plus sujette aux rhumes, grippes et maux de gorges.

Pourtant elle est sensée faire le plein de micronutriments grâce à sa nouvelle alimentation.

Julie se sent faible lorsqu’elle fait du sport.

Pourtant elle en fait maintenant de façon bien plus modérée…

Elle s’en inquiète.

Elle interroge alors son expert prescripteur de jus et de cru.

D’après lui, c’est qu’elle ne sait pas associer les bons fruits et légumes entre eux.

Il lui dit aussi qu’elle est allée trop vite et qu’elle aurait du venir participer à son stage.

Pourtant, il lui semble pourtant être bonne élève et suivre les préceptes défendus par cet homme.

Désemparée, elle décide de lâcher et de reprendre son ancien type d’alimentation.

Elle réintroduit la viande et le poisson dans l’assiette.

Malheureusement elle s’aperçoit qu’elle ne supporte plus cela.

Elle souffre d’inflammations intestinales et de reflux gastriques douloureux à chaque ingestion.

Elle va consulter son médecin et ressort avec un traitement d’un mois.

Les douleurs s’estompent progressivement.

Un jour, lors de ses courses en magasin bio, Julie tombe sur un bimensuel gratuit.

Un des dossier de cette publication est consacré à l’alimentation dissociée.

Curieuse, elle le glisse dans son panier puis chez elle, s’empresse de le potasser.

Elle a l’impression d’une révélation ! 

Que sa solution est là, sous ses yeux ! Et gratuite ! 

Elle essaie donc cette méthode qui semble efficace pour mieux digérer et mieux assimiler.

Mais rapidement, au fil des jours, Julie constate que ses repas deviennent un casse tête permanent. Et elle doit bien s’avouer que les résultats sont « maigres » en terme de confort digestif.

Depuis l’arrêt du traitement les symptômes sont réapparus. 

Le doute s’installe, son moral baisse, son inconfort digestif a la peau dure ! 

Mais elle a bon espoir, car une autre piste de réflexion se trouve dans le même magazine.

La cuisine à la vapeur douce.

Julie s’équipe d’un visualiseur qui comme l’extracteur n’est pas bon marché.

Mais Julie se dit que c’est un investissement salutaire pour retrouver et prévenir sa santé. 

Pour 259 € elle fait désormais cuire ses aliments à la vapeur douce.

Pour 16 € de plus elle a un livre d’une centaine de recettes.

Peu à peu, l’alliance du cru et du cuit à la vapeur lui permet d’améliorer sa digestion.

Mais elle ne se sent toujours pas dans son assiette… toujours un peu apathique, frileuse, molle, moral et libido en berne.

En plus, gustativement, elle ne s’éclate plus jamais ! 

Manger est devenu fastidieux, complexe et ennuyeux.

Manger sain l’obsède et pourtant, plus elle s’informe moins elle ne sait que ou qui croire.

C’est inversement proportionnel.

Julie devient phobique du moindre écart alimentaire au point d’être mal à l’aise en société.

En lisant un article de presse sur la nutrition elle à l’impression de basculer progressivement dans l’orthorexie (obsession de manger sain).

De guerre lasse, elle confie son désarroi à une ami(e) qui semble avoir des notions en nutrition.

Celle-ci lui donne le nom d’un « super-site ! » sur lequel « tu verras, il y a tout !».

Très vite, Julie le visite. 

Ce site « végan friendly » défend un alimentation végétalienne. 

Là, Julie passe des heures le week-end à tout décortiquer.

Elle s’attache à lire, trier, recouper les informations divulguées, pour être sûre.

Il lui semble déceler des réponses à ses maux, percevoir certaines de ses erreurs. 

Elle pense effleurer enfin des solutions pour s’alimenter de façon plus simple et mieux équilibrée.

Elle participe à un groupe végétalien « végan friendly » sur un réseau social.

Elle échange avec d’autres personnes qui la confortent. 

Elle y trouve des idées recettes.

Julie devient végétalienne.

Elle apprend que le café au lait est toxique pour le foie. 

Elle arrête le lait dans le café, puis arrête le café.

Maintenant Julie boit du thé qu’elle n’a jamais pourtant aimé.

Les légumes, légumineuses et les céréales cuites reprennent peu à peu de la place dans son bol alimentaire. 

Elle a compris que cette combinaison est source de protéines végétales et d’acides aminés essentiels. Ça peut remplacer la viande et le poisson. Elle applique.

Elle retrouve peu à peu un sentiment égaré au cours de son parcours alimentaire : la satiété.

En quelques mois elle retrouve un peu de confort digestif. 

Une année file…

Malheureusement, plus le temps passe, plus Julie est stressée.

Elle se sent désormais anxieuse face à la plupart des banalités du quotidien.

Elle se sent vide, épuisée et fragile.

Elle prend tout au sérieux, ne blague quasi plus et sa libido est catastrophique.

Inquiète, elle se résout à consulter.

Le verdict tombe par un bilan sanguin.

 

Voici son décryptage  :  

Julie est carencée en vitamines : A, B12, D2, D3 et K2

Ces vitamines sont absentes (ou en quantités trop faibles ou encore peu biodisponibles pour un apport suffisant) du monde végétal et renforcent le système immunitaire et nerveux.

Elle manque aussi d’iode dont les produits de la mer sont la principale source et dont son alimentation manque. L’iode est indispensable à la régulation hormonale (notamment thyroïdienne) et du système nerveux.

Elle n’a plus de résistance car elle est anémiée (carence en fer qui entraîne entre autre une baisse des productions de globules rouges et blancs. L’anémie suscite une grande fatigue chronique et une baisse d’immunité et d’influx nerveux).

Le fer héminique représente 40 à 50 % du fer total contenu dans les viandes et les poissons et a un taux d’assimilation par l’organisme de 25 %. Contrairement au fer non-héminique des végétaux et des œufs dont la biodisponibilité est inférieure à 5 %.

L’anémie de Julie à été accentuée par sa consommation de thé proche des repas, car il nuit à la fixation du fer par notre organisme. 

Julie est acidifiée car sa faiblesse générale (liée à l’anémie) induit un excès de sédentarité qui ralentit son métabolisme pour l’élimination des acides. 

À cela s’ajoute un stress quasi permanent. Or, en cas de stress, l’adrénaline provoque une surproduction de glucose sanguin. Les cellules sont envahies par un excès de glucose (sucre).

Ce dernier est ensuite dégradé, par la voie aérobie, en gaz carbonique (CO2) qui acidifie les tissus en ions hydrogène H+, donc acides. 

Mais une partie de ce glucose est aussi mal dégradée et se transforme en acide lactique par la voie anaérobie. Dans tous les cas de figure, une augmentation du métabolisme du glucose au niveau cellulaire hyper-acidifie les tissus.

Alors en cas de stress chronique… c’est sans modération ! 

Demain, je reviendrai de façon détaillée sur l’impact insidieux du stress sur notre système hormonal et notre équilibre acido-basique. Vous verrez ! C’est édifiant. Mais là ce serait trop long.

Julie est aussi carencée en magnésium à cause de son excès de stress permanent qui rend son métabolisme très consommateur de magnésium pour alcaliniser son sang.

Or, ce minéral alcalinisant est essentiel à la régulation du calcium du squelette et dentaire.

Une carence en calcium freine de surcroît l’assimilation du magnésium.

Pour Julie c’est « le chien qui se mort la queue » ! 

Jusqu’à l’achat de son vitaliseur, Julie pratiquait des cuissons fortes en température et aussi, des surcuissons.Celles-ci ont accentué sa déminéralisation car toute cuisson, à partir de 100 -110° C, entraine la précipitation des minéraux qui deviennent inassimilables pour l’organisme. Julie ignorait que même sans vitaliseur les cuissons saines et bénéfiques sont possible.

Julie est donc acidifiée et carencée malgré une alimentation qui peut paraître saine, car largement végétalisée au fil de son parcours et de plus composée de cru et de cuit.

Il lui manque aussi beaucoup d’acides gras essentiels équilibrés en antioxydants oméga3, 6, 9 dans son bol alimentaire.

 

Conclusion des mésaventures de Julie : 

En nutrition, la méconnaissance est mère de la maladie. Il n’y a pas que la malbouffe qui soit délétère. Il y aussi des choix alimentaires carençants.

Les erreurs possibles sont pléthore et cette histoire n’en dresse absolument pas une liste exhaustive.

« Les mésaventures de Julie » est juste un récit voué à mettre en relief les décisions inappropriées que l’on peut prendre, par manque d’informations ou par désinformations, afin de répondre à nos souffrances et tenter d’y remédier.

J’ai volontairement forcé le trait de cette fiction et je m’en excuse si toutefois vous trouviez cela caricatural.

Mais je pense que, même si nous avons tou(te)s nos singularités, nous sommes tou(te)s potentiellement des Julie en puissance.

De « joyeux ignorants » à la merci de nos propres lacunes mais aussi « de malins érudits » ou encore « de manipulateurs », qui courent ça et là. 

Et ce, que ces derniers soient promoteurs de malbouffe, de suppléments nutritionnels, de matériel culinaire ou de miracles alimentaires ou médicaux.

Nos ignorances nous rendent facilement influençables pour changer de mode alimentaire mais ces changements sont souvent plus dangereux qu’on l’imagine !  

Comme Julie, à mes débuts, il y a presque 7 ans, lorsque je cherchai des solutions naturelles à mes soucis de santé,  j’aurai pu me faire « attraper ».

Par des « buveurs de jus » et des « mangeurs de cru », des adeptes et partisans du « tout végétal » ou du « tout carné » ou du « tout cuit » ou du « sans ceci » ou du « sans cela ». Ce n’est pas « sans soucis » en tout cas tout ça ! 🙂

Hors pathologies, ni le jus, ni le cru, ni le cuit, ni le végétal, ni la viande, ni le reste ne sont malsains ! 

Ce qui est malsain et dangereux en revanche, c’est :

  • de se priver de la diversité alimentaire,
  • de ne pas respecter certaines proportions entre aliments acidifiants et alcalinisants,
  • de ne pas connaître quelques règles de préservations des qualités nutritionnelles de nos aliments,
  • de perdre le plaisir gustatif de manger en mangeant sainement,

Cela équivaut à se carencer en micronutriments essentiels pour notre métabolisme à cours ou moyen terme.

Soit en étant dans l’excès, soit en étant dans l’éviction de catégories d’aliments ou de certaines façons de les consommer.

De là découlent la plupart de nos soucis de santé et de poids.

Cela peut paraître évident et empli de bon sens à chacun(e) mais souvent au quotidien il n’en est rien.

Car même si l’on mange de tout, même certains repas faits maison peuvent être vidés de leur qualité nutritionnelle.

Il suffit d’ignorer quelques règles importantes dans leur préparation et… c’est fait.

Pourtant ces règles pour réussir des repas riches en nutriments sont faciles à appliquer, pour peu qu’on les connaisse et qu’on les respecte.

Sans règles, aucun jeu n’est possible, pas vrai ? Nos vies et notre santé n’y échappent pas.

Seulement pour comprendre pourquoi et surtout comment corriger nos erreur, il faut avoir un luxe.

D’abord, avoir du temps disponible.

Et aussi, l’énergie et la pugnacité nécessaire à s’informer, se former, chercher des infos, les recouper, les trier, les vérifier, les tester…

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*Photo de l’article réalisée par Viktor Hanacek

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