équilibre acido-basique

Équilibre complexe…

Alimentation facile…

Expliqués simplement !

Une fois compris, les principes de l’approche alimentaire alcaline, c’est facile à mettre en place au quotidien. En revanche, ce n’est pas facile à expliquer sans rentrer dans un tas de détails physiologiques. Pfffuuiiiii ! ! ! En me confrontant à l’exercice, je me suis aperçu de sa complexité  ! S’exprimer simplement  pour expliquer ce que certains dénomment aussi : régime acido-basique ou diète alcaline, ou encore, régime acide-base, n’est pas chose aisée. Dans tous les cas on parle d’une approche alimentaire tenant compte de notre équilibre acido-basique, Un équilibre souvent méconnu (en France), dont la stabilité conditionne pourtant notre survie, notre bonne santé et notre bien-être. Rien de moins ! Mais encore loin de conditionner le contenu de nos assiettes.

J’ai donc décidé de tenter de vulgariser des informations qui sont souvent, de par leur complexité, intraduisibles, voire incompréhensibles pour qui n’a pas le temps nécessaire. En effet, se plonger et cerner les propos de la littérature scientifique disponible sur ce sujet et qui plus est, parfois contradictoires, relève souvent du parcours du combattant !

Je ne vais d’ailleurs aborder volontairement ici « que » les données sur lesquelles les experts ayant écrit sur ce sujet, s’accordent.

Bonnes nouvelles ! 🙂

Tout d’abord… stop à l’inquiétude ! À la crainte démesurée ! Voire la panique ! La nature est bien faite et en cas de carences, votre corps compense (du moins, pour un moment variable d’un individu à l’autre, j’y reviendrai plus tard). D’ailleurs, si vous lisez ces lignes, c’est que votre organisme a jusqu’ici assuré (et assure encore) le maintien de votre équilibre acido-basique ! Sinon vous ne seriez plus là pour lire et encore moins pour en parler. Dites-vous qu’avec ou sans votre participation, votre corps va continuer d’assurer votre équilibre acido-basique pour le bon fonctionnement de votre métabolisme, vos organes, vos cellules… il en va de sa survie, donc de la vôtre. Vous pouvez et devez (pas le choix) lui faire confiance… mais vous pouvez largement l’aider et lui faciliter la tâche parfois rendue difficile et de plus en plus ardue, par nos habitudes de vie et alimentaires actuelles. Il en va de votre vitalité, votre bien-être et pour certains, à moyens ou longs termes, de votre santé.

Mauvaises nouvelles ! 🙁

De par son fonctionnement de base (même pendant notre sommeil) notre corps tend naturellement vers l’acidification, mais comparé aux bâtons qu’on lui met dans les roues, ce n’est rien ! Tout organisme d’une personne en pleine santé régule rapidement cela.

Parmi les principaux croche-pieds qui accentuent potentiellement le phénomène d’acidification de nos organismes :

  • Notre alimentation occidentale (profusion d’aliments acidifiants)
  • Le manque d’hydratation (souvent en dessous de 1, 5 L par jour par personne)
  • Notre rythme de vie moderne et le stress qui en découle
  • Notre sédentarité
  • L’entraînement sportif intensif
  • Le rapport excessif au sucre, à l’alcool, au sel, au tabac
  • Les émotions négatives

Ces facteurs peuvent déboucher aisément sur une acidose métabolique latente (AML) avec son cortège de troubles de santé physiques et psychiques. Par AML, comprenez : « trop d’acides, tout le temps, insidieusement et tous les jours »

Pour mieux connaître les troubles qui lui sont rattachés, vous pouvez cliquer sur les liens ci-dessous pour aller lire :

15 raisons de soigner son équilibre acido-basique

et aussi :

Les méfaits du déséquilibre acido-basique en quelques maux (faute volontaire, car jeu de mots)

Pourquoi ?

Notre corps est une usine chimique et électrique de vie : il passe son temps à maintenir, réguler ou réparer notre équilibre métabolique pour compenser nos écarts, nos abus, nos carences, et là, je ne parle pas que d’alimentation. Quotidiennement, à notre insu, se passent à l’échelle cellulaire des milliards d’échanges chimiques et électriques dans notre corps, pour le maintien (entre autre) de notre équilibre métabolique. L’équilibre acido-basique en fait partie, il n’est pas le seul équilibre en jeu, bien sûr, mais il est essentiel. Pour bien fonctionner notre corps à besoin d’un pH stable, que l’on nomme équilibre acido-basique. Pour le maintenir, il a besoin d’utiliser certaines substances et d’en éliminer d’autres.

Comment ?

Le maintien de notre équilibre acido-basique implique à notre corps d’aller chercher dans notre organisme, coûte que coûte et à chaque seconde les substances nécessaires et bénéfiques et d’éjecter ou éliminer celles qui lui sont inutiles, voire nuisibles.

Pour parvenir à un équilibre, notre organisme compense :

Toute substance est utile, mais pas en excès. L’excès d’une substance peut la rendre nuisible.

Voici une description simplifiée du principe des mécanismes mis en œuvre :

  • Abus de substances inutiles ou nuisibles… il va saturer et risque d’être débordé pour parvenir à les éliminer. Il va compenser et pour réguler, risque d’accroître ses besoins de substances utiles et bénéfiques.
  • Carence en quantité nécessaire ou indispensable de substances utiles et bénéfiques… il va, pour se les procurer… les puiser là où elles se trouvent : nos stocks.

Pour ceux qui veulent mieux comprendre le fonctionnement de l’équilibre acido-basique et le rôle de l’alimentation alcaline, cliquez sur le lien suivant ver un PDF alimentation-santé : Alimentation et équilibre acido-basique

Où sont situés nos stocks ?

Principalement dans :

  • Le squelette
  • Les dents
  • Les tendons
  • Les muscles
  • Les organes

Les substances essentielles nécessaires à notre équilibre acido-basique sont :

  • Des minéraux basiques (ou alcalins) pour contre balancer un pH acide en cas d’acidose (trop d’acidité, pH trop acide).

OU

  • Des minéraux acides pour contre balancer un pH alcalin en cas d’alcalinose (trop d’alcalinité, pH trop basique)

Pour en savoir davantage sur les minéraux basiques et acides, vous pouvez lire : Aliments alcalins et aliments acides… quelles sont leurs différences ?

Que fait notre organisme de ces minéraux ?

Il les utilise pour rétablir notre équilibre en les « injectant » pour les consommer ou les stocker là où il en a besoin, quand il en a besoin.

Quand en a-t-il besoin ?

Tout le temps ! Au quotidien ! Chaque seconde ! Comme je l’ai dit : sa survie en dépend, donc notre vie. Car pour que notre vie, celle de nos cellules, de nos organes et de nos fonctions vitales soient possibles, notre corps a besoin d’un pH stable pour bien fonctionner. Qu’on le veuille ou non. Qu’on l’aide ou non.

Ces stocks de minéraux sont-ils inépuisables ?

Pas du tout ! L’offre de notre stock en minéraux essentiels est une « offre soumise à condition uniquement valable dans la limite des stocks disponibles ! » 🙂  Ces stocks ont un début et une fin. La proportion, la quantité et la disponibilité de nos réserves varie d’un individu à un autre, d’un sexe à l’autre, d’un âge à l’autre… donc pas de règles !

C’est entre autre pour cela qu’il faut veiller à ne pas épuiser ses réserves sous peine de risquer de perdre plus ou moins rapidement sa vitalité, son bien-être et à terme, sa santé physique et psychique. L’AML est la responsable et la compagne de l’ombre de nombreux troubles divers et variés. Avec elle, on ne s’ennuie pas, si je puis dire ! 🙂

Est-il possible de ne pas épuiser nos stocks ?

Bonne nouvelle ! Oui ! 🙂 En plus c’est facile, grâce à 2 leviers essentiels :

  • L’hygiène de vie
  • L’hygiène alimentaire

Concrètement comment faire ?

Autre bonne nouvelle : c’est simple et à notre portée !

Par l’alimentation :

  • Favoriser les aliments naturels (bio) frais et sains et les transformer (cuisiner) soi-même.
  • Accentuer les proportions d’aliments acides en cas d’alcalinose et des aliments alcalins en cas d’acidose.

Et

Par l’hygiène de vie :

  • Bouger régulièrement, s’oxygéner quotidiennement, avoir une activité physique (même s’il ne s’agit pas d’activité sportive).

Alcalinose et acidose… quelle est la plus fréquente ?

Sans parler « alcalinoses » ou « acidoses » sévères qui engagent le pronostic vital d’un individu… sans aucun conteste et au regard de la littérature spécialisée disponible sur le sujet : l’AML est de loin la plus fréquente dans nos sociétés occidentales. Elle constitue un réel danger. Elle-même résultant de carences en nutriments et minéraux alcalins l’AML, une fois installée aggrave ces mêmes carences. Elle est directement liée à notre modèle alimentaire riche en produits d’origine animale et nos choix de consommationElle constitue un cercle vicieux suspecté d’être vecteur de fatigue et de stress métabolique, facteur de mauvais état général de santé et d’être responsable de troubles allant des maladies bénignes aux plus graves, considérées comme « maladies de société » parfois coûteuses en soins (cancer, ostéoporose, AVC, infarctus) qui posent un vrai problème de santé publique.

Pourquoi les autorités de santé ne communiquent pas là-dessus ?

Elles le font… d’une certaine façon… elles ne parlent pas d’AML mais de l’importance et l’impact de l’alimentation sur notre santé. Le site gouvernemental Manger bouger.fr par exemple, est sur le fond, une bonne initiative. Il n’en demeure pas moins une vitrine de la communication étatique institutionnelle en matière de préoccupations de nutrition et de santé publique, peut-être freinée par des luttes d’intérêts. Quoiqu’il en soit, au regard de mes connaissances acquises au fil de mes lectures et de mes rencontres avec des experts, je dois avouer ne pas être d’accord avec tout ce que j’y lis. Mais j’ai aussi conscience qu’il est des sujets qu’un état ne peut aborder sans se confronter à des conséquences économiques ou sociales fâcheuses, voire désastreuses.

Tout ceci conjugué nous vaut de lire encore en 2017, des recommandations « alimentation santé » qui me paraissent d’un autre âge :

  • Jus d’orange et cornflakes pour un p’tit dèj équilibré
  • Lait pour avoir du calcium.
  • 150 g de produits d’origine animale/par jour/par personne pour un apport correct en AAE (acides aminés essentiels)

De plus, l’amalgame est fréquent entre la quantité de protéines nécessaires et la quantité d’aliments protéiniques (aliments sources de protéines) nécessaires pour fournir ces « fameuses » protéines.

J’ajouterai que ces recommandations ne tiennent pas ou peu compte des enjeux du développement durable pour notre planète, ni des ressources alimentaires globales disponibles pour les populations, ni de la dangerosité de ne rien changer dans son assiette pour sa santé.

L’alimentation alcaline se situe où dans tout ça ?

Difficile à dire pour le moment, mais selon moi l’alimentation alcalinisante a de l’avenir, car elle est :

  • Facile à mettre en place concrètement, une fois ses notions assimilées.
  • Sans éviction ni privation alimentaire : aucun interdit, juste des proportions à respecter et des risques de carences faibles (pour des individus lambda en bonne santé). Un abus la veille ? Il suffit de compenser…
  • Respectueuse d’une réalité physiologique : notre équilibre acido-basique
  • Correspond à une réalité alimentaire des pays riches et occidentaux : notre alimentation est trop carnée, riche en produits laitiers et céréales (donc acidifiante).
  • Elle fait manger plus de fruits, de légumes, d’oléagineux (60 à 80%) et moins de viandes, de céréales, de produits laitiers, de sucres (40 à 20%). Elle boude les produits et les plats préparés de l’agroalimentaire.
  • Elle questionne nos modes de consommation et privilégie la qualité : aliments frais, naturels, si possible bio, de saison, traçables en circuits courts (direct producteurs locaux) donc plus riches en nutriments : vitamines, micronutriments, minéraux, oligo-éléments.
  • Plus nourrissante, elle est donc plus rassasiante (de satiété)
  • En adéquation avec les objectifs de développement durable des terres arables (moins d’élevage pour plus de cultures) et les objectifs environnementaux (consommation raisonnée puisque moins de produits d’origine animale).
  • L’alliée d’une hygiène de vie : avoir une activité physique régulière.
  • Économique et peu chronophage.
  • Modèle de « régime longévité ».

Conclusion :

Changer nos ampoules, on a appris ! Changer nos assiettes, reste à apprendre ! 🙂

Changer le contenu de nos assiettes pour :

  • Notre environnement
  • Notre avenir
  • Nos enfants
  • Notre vitalité
  • Notre bien être
  • Notre santé

Pour aller plus loin vous pouvez lire les articles de la page « Pour débuter »

Et surtout n’oubliez pas ! Le changement dans votre assiette… c’est maintenant ! Hihihi ! 😉

Pour aller plus loin…

Mes formations en ligne peuvent vous aider à alcaliniser facilement votre quotidien et à soutenir votre équilibre acido-basique en mettant en place une stratégie de prévention de votre santé naturelle. Pour cela je vous invite à découvrir : Club privé Bouchées Doubles, qui aide déjà de nombreuses personnes à atteindre leurs objectifs. 

On en cause ? 

Partagez votre avis, vos questions ou votre expérience ci-dessous, dans la zone de commentaires. Merci d’avance ! 😀

L’avis de Céline Miretti, naturopathe. 

Nous sommes des êtres humains et avons été créés par la Nature comme des êtres vivants (presque) parfaits, grâce à notre aptitude à nous régénérer sans cesse. Nous pourrions vivre de nombreuses années oui, mais voilà l’important est de savoir comment y parvenir sans tomber sous les affres de la maladie entre-temps…

Pas simple, me direz-vous, ...

En tant qu’être humain, nous sommes effectivement soumis aux lois de la Nature et nous avons évolué avec cette dernière, nous nous sommes adaptés à elle, ainsi qu’à l’évolution de notre temps : Une alimentation de plus en plus industrielle, raffinée, contenant un tas d’exhausteurs de goût et/ou une nourriture pratique et vite faite, pour cette société de consommation qui n’a plus le temps de rien ! Cependant en quelques décennies, grâce ou à cause de ces techniques modernes et de ce prétendu progrès, nous nous sommes fortement éloignés de la Nature et de ce qu’elle nous offre et nos habitudes alimentaires, notre mode de vie à l’origine excédentaires en alcalins sont devenus excédentaires en acides !

Ces acides et les toxines se multiplient en effet de nos jours…
 
Nous consommons par exemple :
              • trop de graisses saturées
              • trop de produits manufacturés avec des additifs
              • trop de sel
              • trop de sucre
              • trop de produits à farine blanche 
 
De plus, nous avons constaté une sédentarité qui s’est installée du fait d’un travail prenant et un rythme de stress quotidien tout ceci ayant pour conséquence d’acidifier notre organisme ! Le stress en étant le pourvoyeur n° 1 !
Les substances vitales sous forme de sels minéraux, de vitamines, de substances végétales secondaires, de fibres alimentaires, la majorité des végétaux, seraient en mesure de rétablir l’équilibre en bases, mais voilà…  elles sont à peine présentes dans les produits alimentaires industriellement transformés, concentrés de calories vides… proposés sur les étals des hypermarchés… 😕
 
 À la longue nos systèmes tampon (systèmes de protection qui ont pour but de maintenir constamment le taux de pH à un certain niveau) sont dépassés par ce déferlement d’acides et de toxines. Ceci cause la détérioration de notre santé et génère, entre autre, de la quasi-majorité de nos symptômes et maladies actuelles dites de civilisation.
 
Ces  acides sont présents un peu partout…
               • acide sulfurique : viande et charcuterie, fromages, blanc d’œuf
               • nitrique : viande et charcuterie en saumure
               • phosphorique : Coca-Cola, fromages, fondues, poissons, œufs
               • acétylsalicylique : médicaments anti-douleurs
               • formique : édulcorants
               • acétique : vinaigres, farines blanches, sucres et confiseries
 
J’en passe et des meilleurs…
 
Comment sortir de ce service vicieux de cette acidification croissante du sang ?
Lorsqu’on sait qu’elle a pour effet d’altérer non seulement l’alimentation des cellules en oxygène et des substances nutritives. De plus nos réserves en minéraux acquis à la naissance
diminuent d’âge en âge en fonction de nos habitudes de vie plus ou moins délétères.
 
            • Règle numéro 1 : Augmenter votre part de consommation de végétaux, c’est-à-dire des légumes frais de qualité biologique, crus et cuisinés de préférence à la vapeur… ils en conserveront tous les bienfaits : enzymatiques, vitamines & et minéraux !
 
            • Règle numéro 2 : un acide + une base. Exemple : si je décide de manger une protéine animale (viande, œuf ou poisson) je choisirai un légume alcalinisant pour             l’accompagner plutôt qu’une céréale acidifiante (riz, pâtes etc)… La céréale sera accompagnée de légumineuses et toujours avec un ou des légumes alcalinisants.
Certaines études disent que pour 100 g de protéines animales consommer il faudrait
manger 500 grammes de légumes… faites le calcul !   😉
 
            • Règle numéro 3  : éviter et fuir l’alimentation industrielle : les plats préparés !
 
C’est pour cela qu’il est important de suivre les recettes de Bouchées Doubles qui propose une alimentation santé, saine & simple, alcalinisante, ludique, facile à faire et pourvoyeuse de bonnes vitamines indispensables à votre santé au quotidien…
 
 Intégrer les légumes ne veut pas dire ennui et manque de plaisir, car il est important de conserver cette notion de plaisir. Manger en conscience en sachant que cela fera du bien notre corps est un des premiers principes de Santé dixit Hippocrate Père de la médecine et premier Naturopathe 5e siècle avant JC  »

              —  » Que ton alimentation soit ton premier médicament. « 

Alors à vos fourneaux 😉 et à bientôt…

Naturopathiquement vôtre !

Celine Miretti

Naturopathe

Sources : » la santé par la dépuration -Équilibre acido-basique- Source de beauté & de santé durable « Docteur H.C Peter et Roland Jenstchura

On en cause ? 🙂 Si vous avez des questions ou un avis à formuler, je vous invite à passer à l’action : commentez cet article juste en dessous (en bas de cette page). À l’avance merci ! 🙂

5 thoughts on “Équilibre acido-basique et alimentation pour débutants”

    1. Bonjour Bruno,

      Je vous prie de bien vouloir excuser le délai de ma réponse.

      Acidose : Les symptômes d’une acidose sont une soif intense, des urines fréquentes et abondantes, une perte de poids rapide, des crampes durant la nuit et un essoufflement discret. Elle provoque très souvent des maux de ventre intenses, des nausées et des vomissements.
      Si cela vous arrive, rendez-vous sans tarder aux urgences, car il faut agir vite avec une perfusion de solution alcaline.

      Alcalose (plus rare) : Les causes fréquentes sont les vomissements prolongés, l’hypovolémie, la prise de diurétiques et l’hypokaliémie. Un défaut de l’excrétion rénale d’HCO3 − doit être présent pour entretenir l’alcalose.
      La symptomatologie dans les cas graves comprend des céphalées, une léthargie et une tétanie.
      Si cela vous arrive, rendez-vous sans tarder aux urgences.

      En revanche, si vous parlez d’acidose métabolique latente ou chronique, comme c’est le cas chez la plupart des occidentaux, c’est plus complexe à détecter. Il est judicieux de prendre en compte des paramètres physiologiques et nutritionnels précis.

      J’espère que ma réponse, bien que tardive, vous aidera.

  1. Bonjour Herve . Je suis Pauline et j’habite Clisson; on s’est vus en Air Bnb mors de votre randonnée. Je suis intéressée par ce que vous proposez sur votre blog mais il faut commencer chose que je n’ai pas encore fait. Par contre ,j’ai 3 amies qui s’y intéressent . Vous m’aviez parlé d’une possible séance de travail à la maison alors je voudrais savoir si c’est possible ,avec combien de personnes minimum et le coût d’un atelier. J’attends votre réponse . Merci beaucoup Pauline

    1. Bonjour Pauline,
      Merci pour votre message. Oui, je me souviens bien de notre rencontre. Toujours motivée ? Ce sera avec plaisir. 🙂 Je vous contacte très vite pour vous répondre. Merci de vouloir m’engager. À tout de suite de l’autre côté… 😉

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