Découvrez les recettes de cuisine acido-basique qui composent cette assiette complète et leurs atouts santé.

Une assiette alcaline complète avec 4 recettes de cuisine acido-basique

Une assiette nutritionnellement complète et bénéfique pour notre équilibre acido-basique ! 🙂 Elle est évidemment alcalinisante et gourmande en plus d’être complète. L’idée est que, quels que soient vos choix d’aliments,  cette assiette alcaline vous apporte tous les nutriments dont nous avons besoin ainsi que du cru et cuit.

Pour aller plus loin…

Et tout savoir sur nos besoins nutritionnels réels en cru ou en cuit dans notre alimentation , je vous invite à découvrir cet article (qui inclus des liens qui vous mèneront vers une série d’article sur ce thème) : Alimentation : manger cru ou cuit pour la santé ?

Cette assiette alcaline vous apporte nutritionnelement : 

• protéines végétales et animales

• glucides et amidons complexes,

• lipides de bonne qualité,

• vitamines, enzymes alimentaires, minéraux alcalins, antioxydants et fibres (prébiotiques).

Une composition typique façon Bouchées Doubles :

Association de céréales, légumineuses (protéines végétales), des végétaux à perte de vue (fibres prébiotiques, enzymes, vitamines et minéraux alcalins), bons oléagineux et bons gras (antioxydants, oméga3 et 9) dans une ou des sauces bien relevées pour assaisonner le tout ou chaque recette séparément.

On répond aux besoins nutritionnels, mais on dose les proportions entre aliments acidifiants et aliments basifiants de façon bénéfique pour l’organisme (après digestion et assimilation donc rien à voir avec leur goût) et notre équilibre acido-basique. Et puis, on a le droit d’y associer des oeufs, du poisson ou de la viande dans des proportions alcalinisantes : il ne faut faire en sorte que viande ou poisson + céréales + légumineuses (surtout si ces dernières sont légèrement acidifiantes comme le riz ou les pois chiches par exemple, ne dépassent pas à elles trois réunies 20 à 30% des aliments présents dans l’assiette. 

Important : L’assiette doit être composée de cru et de cuit et je vous recommande vivement de consommer les crudités en entrée : elles vous apporteront les enzymes alimentaires nécessaire à une bonne assimilation des nutriments qu’elles contiennent (anti-oxydants, vitamines, minéraux alcalins, fibres). De plus, manger le cru avant le cuit permet d’éviter l’hyperleucocytose digestive (augmentation des globules blancs dans le sang).

LE bon réflexe alimentaire à acquérir : 

Pensez donc d’abord à remplir de légumes puis posez-vous la question suivante : « Tiens ! Quelle viande (ou poisson), légumineuses et céréales pourraient bien accompagner mes légumes ??? ».

C’est selon moi LA question récurrente à se poser et LE réflexe alimentaire à acquérir lorsqu’on mange alcalin. Ensuite, gourmandise oblige : je propose dans mon assiette alcaline des textures et des saveurs variées, plutôt qu’une seule et même sauce pour lier le tout. Je ne peux pas m’en empêcher, mais vous ferez bien selon votre inspiration ! 😉

Découvrez cette assiette alcaline complète et ses atouts pour la santé

À propos de l’indice PRAL de cette assiette complète…

Pour peu qu’on respecte les proportions alcalines indiquées plus haut dans cet  article, cette recette contribue à notre équilibre acido-basique et possède un indice PRAL global alcalin. Elle ne contient que peu d’aliments acidifiants dans une proportion de 30% soit d’1/3 max*. Les 4 recettes proposées ci-dessous sont alcalinisantes et participeront à votre bon équilibre acido-basique. 🙂

* Les minéraux acidifiants et alcalinisants sont dépendants les uns des autres pour une bonne synthèse dans notre métabolisme… pas question donc de manger 100% alcalin ! En revanche, il est important d’en doser les proportions dans notre alimentation occidentale moderne dans laquelle l’apport quotidien en aliments acides et aliments alcalins est déséquilibré (au détriment des aliments alcalins).  

Pour aller plus loin...

Et savoir reconnaître en un clin d’oeuil le pouvoir acidifiant ou alcalinisant des aliments en fonction de leur l’indice PRAL je vous invite à découvrir « Mon guide de l’indice PRAL » dans lequel j’ai analysé, répertorié et classé 527 aliments.

Ou encore…

Pour tout savoir sur votre équilibre acido-basique, je vous invite à découvrir mon livre (papier et ebook) : « Cultivez votre équilibre acido-basique« 

Recommandations : 

Si vos légumes sont bio…

Ils sont plus riches en micronutriments, donc plus rassasiants. Pour en bénéficier au maximum, ne les épluchez pas. Contentez-vous de les rincer. Vous conserverez jusqu’à 25 % de leurs micronutriments en plus.

Si vos légumes ne sont pas bio…

Ils sont moins riches en micronutriments, donc moins rassasiantsLavez-les et épluchez-les afin de minimiser vos ingestions de fongicides, pesticides et insecticides.

Découvrez cette assiette alcaline complète et ses atouts pour la santé

Les 4 recettes de cette assiette alcaline complète : 

Astuce organisationnelle : quitte à prendre le temps nécessaire à cuisiner, envoyez du steak ! Faites des doses plus importantes et conservez l’excédant des portions nécessaires à l’assiette au frais, voire congelées. Vous en aurez ainsi pour d’autres repas alcalins de la semaine ou du mois. Même si la congélation n’est pas la panacée en terme de conservation de certains nutriments, elle en préserve assez pour être interessante et mieux vaut avoir vos propres plats maisons au congélateur ou au frigo que de craquer par manque de temps sur des plats préparés par le traiteur ou l’industriel. Là au moins vous maîtrisez vos ingrédients. 😉

D’autres idées d’assiettes alcalines complètes, d’alkalin buddha bowl et buddha plate vous attendent en haut de la page « MiaM ! Toutes les recettes »

On en cause !?  

Si cette idée d’assiette alcaline complète vous plaît ou vous déplaît, je vous invite à partager votre retour ci-dessous dans la zone de commentaires ou à la partager. Merci d’avance. 🙂

2 thoughts on “Cuisine acido-basique : assiette alcaline complète”

  1. Bonjour Hervé

    Le domaine alimentaire est quelquefois complexe. Je croyais, par ex, que la tomate était un aliment acidifiant.

    De même, je suis très intéressée pour connaître les associations alimentaires compatibles et celles qui sont incompatibles et à éviter. Beaucoup de choses se disent et se contredisent à ce sujet.
    je pensais, par ex, qu’une protéine animale (viande ou poisson) associée avec des pommes de terre ou des pâtes ou riz était déconseillée).
    Je vais commander votre guide de l’indice PRAL, version papier
    Merci beaucoup
    Annie

    1. Bonjour Annie,

      Oui les associations alimentaires sont un sujet controversé, d’où le titre de mon article détaillé sur ces dernières qui figure sur la page Eurêka du blog. Je vous invite à le découvrir si ce n’est déjà fait. Non les pommes de terre + viande est une association plus digeste que viande + céréales. Mais tout cela n’est que théorique et ne tient pas compte de l’adaptation physiologique du milieu. Selon les partisans d’un régime dissocié, il faudrait séparer et répartir sur différents repas différents aliments protéiques, qui se digèrent dans un milieu gastrique acide, des aliments farineux et féculents qui se digèrent dans un milieu neutre ou basique. Or notre estomac est une « poche » certes unique mais qui sait adapter son pH en fonction du contenu à digérer. De plus dans l’observation des faits dans la durée, de nombreux experts témoignent du fait que la dissociation alimentaire conduit à la dégénérescence des fonctions et capacités digestives d’un individu. Même si celle-ci est parfois utile ou nécessaire ponctuellement, elle peut s’avérer délétère au long terme. C’est pour cela que les polémiques perdurent à son sujet.
      En matière d’alimentation acido-basique l’alcalinité des tomates, citrons et épinards est souvent contre-dites sous des arguments confus et absolument discutables d’un point de vue scientifique. Pour moi ils sont scientifiquement alcalinisants avec un indice PRAL alcalin. En revanche que certaines personnes ne les supportent pas est tout à fait possible. D’où l’importance quels que soient nos choix en alimentation d’apprendre à observer ce qui se passe pour éviter les aliments qui nous gênent (mes propos concernent les gens hors pathologie).
      J’espère que cette réponse vous sera utile ! 🙂

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